Vicine convicine, le saviez-vous ?

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1. La vicine et la convicine sont des molécules spécifiques des fèveroles qui peuvent provoquer des réactions hémolytiques chez les individus génétiquement sensibles.

2. Elles sont impliquées dans les phénomènes de « favisme » (maladie endémique dans de nombreux pays du bassin méditerranéen et de l’Afrique)

3. Ce sont des facteurs antinutritionnels qui causent une diminution de la digestibilité de la féverole chez les monogastriques et engendrent des effets négatifs sur les performances de ponte des pondeuses.

Le dosage de ces composés est donc très important pour évaluer les qualités nutritionnelles des variétés de féverole.

Nous réalisons l’analyse par HPLC détection UV sur toutes matrices contenant des fèveroles, principalement la farine.

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La vicine et la convicine sont des molécules spécifiques des fèveroles qui peuvent provoquer des réactions hémolytiques chez les individus génétiquement sensibles. Leur teneur est déterminée par l’UPLC (Vicine et convicine – Improve (improve-innov.com))

Composés anti-nutritionnels (cause d’anémie)

« Les tannins présents dans le tégument des graines, la vicine et la convicine, présentes dans les cotylédons, ont été clairement identifiés comme facteurs antinutritionnels, ayant un effet dépressif sur la valeur nutritionnelle des graines chez les monogastriques et les performances de ponte des pondeuses (Olaboro et al., 1981, Grosjean et al., 2000). » (extrait article « Des sauts qualitatifs pour un usage accru des oléoprotéagineux en alimentation animale » revue OCL 2005)

La vicine et la convicine sont des molécules spécifiques des fèveroles qui peuvent provoquer des réactions hémolytiques chez les individus génétiquement sensibles. Leur teneur est déterminée par l’UPLC (Vicine et convicine – Improve (improve-innov.com))

Composés anti-nutritionnels (cause d’anémie)

« Les tannins présents dans le tégument des graines, la vicine et la convicine, présentes dans les cotylédons, ont été clairement identifiés comme facteurs antinutritionnels, ayant un effet dépressif sur la valeur nutritionnelle des graines chez les monogastriques et les performances de ponte des pondeuses (Olaboro et al., 1981, Grosjean et al., 2000). » (extrait article « Des sauts qualitatifs pour un usage accru des oléoprotéagineux en alimentation animale » revue OCL 2005)

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Franck DEJEAN Responsable Département Analyse et Expertise.